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L'Agence de communication et marketing. Nous sommes des experts de l'accompagnement stratégique digital et des réseaux sociaux dans les domaines de la mode, de la beauté et du lifestyle.
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Retrouvez les 7 outils indispensables du community manager ! Entreprise, free-lance, entrepreneur, cet article est fait pour vous. Vous pourrez imaginer, conceptualiser, programmer et publier en quelques clics. Le plus ? Pas besoin d’un diplôme en communication pour les apprivoiser !
Le rôle du community manager
Le community manager est la personne en charge de faire rayonner votre marque/entreprise sur les réseaux sociaux. Elle va créer du contenu, interagir avec son audience, analyser les résultats, dans le but de construire une communauté engagée. C’est une personne créative, humaine, passionnée, engagée, sociable, positive… qui ne cesse de trouver des nouveaux moyens pour se réinventer.
Alors, la créativité et la performance c’est aussi disposer des bons outils pour faire évoluer l’entreprise, la marque.
Nous avons sélectionné nos 7 outils favoris : formules gratuites, intuitives, opérantes.
1- CANVA
C’est le chouchou du social media manager. On l’aime parce qu’il propose une multitude de templates qui s’adaptent à tous les formats des réseaux sociaux. On peut ajouter notre touche personnelle, personnaliser le discours, ou simplement s’en inspirer. Aussi, vous pouvez ajouter des animations avec l’option « éléments » en utilisant des mots clés pertinents : gifs, vidéos, images, émojis…
2- UNSPLASH
Vous recherchez des photos de professionnels libres de droit ? Vous êtes au bon endroit. Grâce à ce site internet et sa mine d’or, vous vous dressez en quelques photos un compte pro ! Attention tout de même à ne pas utiliser que ce contenu. N’oublions pas que nous sommes dans une démarche de personnalisation du discours et de la ligne éditoriale.
Pour commencer, c’est quoi une agence marketing éthique ? Jean-Jacques Nilles, Professeur de philosophie, maître de conférences en sciences de gestion à l’université de Savoie, concepteur d’Eval’éthique et conseil scientifique de la société Socrates, explique que : « L’éthique est une réflexion qui vise à déterminer les principes du bien agir en tenant compte des contraintes relatives à des situations déterminées. C’est ainsi que l’éthique dans les affaires désigne la recherche conjointe de l’efficacité et de la légitimité ». En d’autres termes, c’est une agence qui va chercher dans l’exercice de son métier et dans ses collaborations, à allier performance, respect et durabilité.
Asseoir sa crédibilité
Quand on pense éthique, on pense d’abord bio et développement durable. Or, s’engager dans un processus de changement passe aussi par des collaborations qui ont du sens pour vous et votre communauté. Justifier d’un partenariat avec un influenceur écolo ou collaborer avec une agence éthique, permet d’adopter un positionnement éthique global. Vos clients bénéficient alors d’une vision transparente de votre structure et de vos activités. Ils partagent alors un sentiment d’appartenance et vous pouvez les fidéliser.
Quel type de contenu je peux publier sur mes réseaux sociaux ? Si vous vous posez cette question, vous êtes au bon endroit. Parfois en tant qu’entreprise, il est difficile de trouver des pistes créatives pour ses publications. Cela peut s’expliquer par le manque de temps ou par manque d’idées. En effet, animer un réseau social demande de l’énergie et de l’investissement. L’objectif est de réussir à créer une ligne éditoriale en cohérence avec la stratégie marketing globale de la marque et à mettre en lumière les valeurs de l’organisation. Votre projet regorge d’histoires et vous avez des choses à dire, et ces thématiques se trouvent souvent sous vos yeux !
Les idées de contenu que nous vous proposons dans cet article s’inscrivent dans une démarche globale où l’humain est au centre de votre communication sur vos réseaux sociaux.
1- Présentez les membres de votre équipe.
Oui, parce que derrière chaque compte Instagram, Facebook ou Linkedin, il y a des humains, qui donnent beaucoup d’amour pour développer cette entreprise, alors il faut les remercier !
2- Plongez votre communauté dans les locaux de votre business.
Si vous travaillez dans un atelier, un bureau ou encore chez vous en télétravail, vous pouvez partager votre environnement. Les gens adorent connaître les dessous d’une entreprise car c’est un lieu où ils n’ont pas la chance d’aller.
3- Partagez une journée de travail type avec votre communauté.
C’est simple, mais ça vous permet de montrer que vous êtes en activité, en mouvement. On peut se dire tout le monde fait la même chose ? C’est faux. Et surtout, si vous êtes entrepreneur.e par exemple, votre communauté peut aussi se retrouver dans votre façon de travailler.
Nous rencontrons Clara Crochemore, ancienne journaliste pour Marie France, aujourd’hui rédactrice web dans la mode et les projets éco-responsables. Nous avons souhaité vous partager son parcours inspirant et son « adieu » à la fast fashion. Découvrez comment est-elle devenue rédactrice web pour des projets éthiques et positifs !
Changement de journaliste mode à rédactrice web mode éco responsable éthique, quel a été ton déclic ?
Je dirais qu’il s’agissait plus d’un processus qu’un déclic. J’ai commencé à changer mes habitudes timidement. En remplaçant mes produits ménagers, en essayant d’utiliser moins d’emballages, etc.
La mode est arrivée beaucoup plus tard ! En tant que journaliste mode, je ressentais un malaise de plus en plus important que j’avais du mal à identifier. Le ballet incessant de « nouveautés », les tendances, les « must-have » : tout cela commençait à manquer de sens pour moi. Tout allait trop vite, une effervescence pas forcément justifiée à mon sens. Je commençais à être mal à l’aise avec le fait de mettre en avant certaines marques, et, à travers mes articles, d’inciter à consommer toujours plus (les sélections shopping, les soldes etc.).
Je savais que les dessous de la mode n’étaient pas reluisants, mais je dois avouer que j’avais peur de ce que j’allais trouver en grattant la surface… je me suis donc voilée la face pendant un moment. Et s’il faut parler de déclic, je dirais que c’est le documentaire The True Cost d’Andrew Morgan qui a marqué un tournant. Beaucoup de personnes ayant tourné le dos à la fast fashion en parlent d’ailleurs comme d’un déclencheur.
Après l’avoir vu, ce documentaire ne me quittait plus. Il montre à quel point la filière du vêtement est complexe et opaque. J’ai ensuite ouvert les yeux sur beaucoup de choses, et je dois avouer que ça me paraissait un peu vertigineux. A partir de quand peut-on vraiment dire qu’un vêtement est éco-responsable ? Il y a la question de la matière première, de la fabrication, du tissage, de la teinture, mais aussi de la pollution engendrée par le lavage et par la fin de vie du vêtement. Et bien sûr la question sociale, celle du respect et du bien-être des travailleurs. Chaque alternative comprend ses avantages et ses inconvénients. La première solution, en réalité, c’est de moins acheter.
Malgré cette prise de conscience, je continuais à commander chez Mango, Zara… j’avais du mal à résister. Il y a eu un décalage entre la prise de conscience et le moment où j’ai décidé de revoir mes habitudes ancrées depuis des années et de changer radicalement ma manière de « consommer » et de considérer le vêtement. En parallèle, cela faisait un moment que je ne me sentais plus alignée avec les valeurs de mon entreprise. J’ai donc décidé de prendre un nouveau départ en me lançant en freelance. Et cette fois, en mettant tout ce que j’avais appris au service des petites marques qui essaient de bien faire les choses. Cela a entraîné des rencontres passionnantes ! C’est un bonheur d’entendre des créateurs et entrepreneurs parler de leurs aventures et de les soutenir.
Rédactrice web mode éco responsable et pollution numérique, comment choisir ?
Très bonne question ! La pollution numérique est en effet un vrai problème. Surtout qu’étant immatérielle, il est plus difficile d’en avoir conscience. La rédaction d’articles, les réseaux sociaux, les newsletters : chacun engendre de la pollution numérique, de façon plus ou moins élevée. Ils sont pourtant essentiels pour une entreprise, surtout si elle est uniquement présente sur le digital. En effet, cela permet d’engager un vrai dialogue avec sa communauté et de se développer. Difficile donc de choisir entre les deux ! Il n’y a pas là non plus de solution parfaite. Selon moi, le mieux est de trouver l’équilibre pour publier moins, mais mieux. Sans perdre de vue les exigences des algorithmes qui demandent une certaine régularité pour pouvoir être visible. Cela passe par le fait d’éviter de publier uniquement pour publier et essayer d’apporter quelque chose de nouveau.
Au niveau articles, il ne faut pas hésiter à créer des articles de fonds, à y ajouter votre point de vue, votre expertise et votre personnalité. Ce seront des articles vraiment lus, utiles pour les lecteurs et vos clients, et qui permettront de créer un vrai lien. Demandez également à vos clients ce qu’ils aimeraient lire, les questions qu’ils se posent pour y répondre en article. Les blogs d’Atelier Unes et de Loom, appelé La mode à l’envers sont par exemple très intéressants. Ces marques créent peu d’articles, mais quand elles le font, ils sont toujours pertinents.
Quel conseil donnerais-tu à une marque éco-responsable qui souhaite développer sa communication ?
Le travail de rédaction et de communication peut-être à double tranchant. En voulant travailler les mots, faire des phrases accrocheuses, on peut sans le vouloir donner une impression de marketing creux, voire pire, de greenwashing, même quand ce n’est pas le cas. Il est donc important de bien vérifier les mots, s’assurer que le sens qui se dégage correspond bien au projet. Et surtout, être transparent. C’est impossible de tout faire parfaitement quand on est une entreprise qui démarre, mais c’est important de le dire à ses clients, de rester précis et de ne pas les induire en erreur.
Quels sont les critères les plus importants pour toi dans le choix de tes collaborations ?
Il y a plusieurs critères qui entrent en jeu : mes convictions, le goût du challenge, les opportunités croisées sur mon chemin… et naturellement la question financière, parce que lorsqu’on se lance en tant que freelance, on n’a pas toujours l’occasion de pouvoir choisir et il faut payer ses factures. Concernant les projets autour de la fast fashion : je les refuse, parce que je ne veux vraiment plus alimenter ce système. Ensuite, je peux accepter une mission parce que cela représente un défi. Toutes mes collaborations ne concernent pas le domaine éco-responsable – même si je veille à ce qu’elles restent cohérentes avec mes valeurs. Enfin, et surtout, j’aime accompagner les entrepreneurs passionnés et sincères dans leurs démarches. C’est un vrai moteur de participer à des projets nourris par de vraies convictions.
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